Le Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux (CGAAER) est présidé par le ministre en charge de l’agriculture. Le CGAAER assure des missions de conseil, d’expertise, d’évaluation, d’audit et d’inspection, par exemple sur des questions stratégiques comme l’agro-écologie et la lutte contre le changement climatique, la gestion de crises de marché ou de crises sanitaires, l’appui à l’international. Il peut aussi participer à la conception de lois.
Le rapport analyse les forces et faiblesses du règlement sur la politique commune de la pêche actuel. Il propose des modifications à lui apporter à l'occasion de son réexamen en 2022 pour amener plus de consensus et faire face aux nouveaux enjeux du BREXIT et du changement climatique.
Dans les prochaines années, les métiers du ministère de l’agriculture et de l’alimentation vont être profondément transformés par le développement du numérique, du big data et de l’intelligence artificielle.Un rapport du CGAAER analyse les impacts potentiels du numérique sur quatre métiers importants au sein du ministère et, plus largement, les conditions de sa transformation numérique.
Le CGAAER a été chargé de conduire un audit de conformité de l'utilisation des crédits du compte d'affectation spéciale « développement agricole et rural » (CASDAR) pour le financement du programme de développement agricole et rural (PDAR) mis en œuvre en 2018 par l’APCA.
Selon l’OMS, près du quart des décès et des pathologies chroniques dans le monde peuvent être imputés à des facteurs environnementaux. Ce rapport inter-inspections formule plusieurs recommandations pour renforcer la prise en compte des facteurs environnementaux sur la santé et la confiance en matière de santé-environnement, en agissant sur la recherche, l’expertise et la décision publiques aux niveaux français et européen.
Doté d’un contrat quinquennal d’objectifs et de performance (COP), le CNPF doit faire face aux défis complexes que la forêt privée française est censée relever dans le contexte de politiques publiques (PNFB et SNBC) ambitieuses. La mission CGAAER a été chargée d’évaluer le COP 2017-2021 et de proposer des scénarios et recommandations d’évolution du CNPF pour la période 2022-2026.
Outre l’accélération des actions d’adaptation et le renforcement de la gouvernance à l’échelle du bassin, la mise en œuvre du plan d’adaptation au changement climatique du bassin Adour-Garonne peut intégrer une mobilisation supplémentaire des retenues hydroélectriques.
Le CGAAER et le CGEDD ont été chargés de conduire une mission d’écoute des acteurs impliqués dans le devenir de la tourbière de Baupte, dans le département de la Manche, en vue de dégager un scénario partagé. Cette question, en discussion depuis 2010, n’a en effet pas fait consensus au cours de ces dix dernières années.