La loi EGalim prévoit de nombreuses dispositions pour la restauration collective. La plus emblématique, dont le décret d'application a été publié le 24 avril 2019, consiste à fixer un objectif d’approvisionnement en produits biologiques d’ici 2022. Les explications de Cédric Prévost, sous-directeur de la politique de l’alimentation au ministère.
Didier Guillaume, ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, salue la publication au Journal officiel ce 24 avril du décret d’application relatif aux nouvelles obligations instaurées pour les établissements de restauration collective.
Les 27 et 28 avril 2019, le festival gastronomique corse Art'è Gustu fête ses quinze ans. Cette année, deux produits du terroir sont à l'honneur à Aléria : l'agneau de lait et la noisette de Cervione IGP (Indication Géographique Protégée).
À l'approche de Pâques, (re)découvrons la pâquerette, également surnommée la « fleur de Pâques », en référence à sa période de massive floraison. De la famille des Astéracées, la pâquerette est l'une des premières fleurs du printemps et marque le retour de cette douce saison. La fleur sauvage se dévoile, principalement, aux alentours de la célébration de Pâques, d'où son nom.
Quelles sont les tendances qui feront la « food industry » de demain ? C'est la question qui a occupé le 5e Food Morning, ce vendredi 12 avril à Paris. Cet événement autour des influenceurs et de la communication des marques de food, de leur distribution et des enjeux sociétaux était placé sous le haut patronage du ministère.
L'UNESCO, la FAO et le ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation, ont organisé conjointement le 22 mars 2019, dans les locaux de l'UNESCO à Paris, un colloque international intitulé « Le goût au service de la santé des consommateurs et du développement territorial durable ».
En 2010, l’UNESCO décidait de classer le « repas gastronomique des Français » comme patrimoine culturel immatériel de l’humanité. Cette catégorie, créée en 2003, a pour objectif de protéger les pratiques culturelles et savoir-faire traditionnels, aux côtés des sites et monuments. Retour sur la décision à l'époque de l'UNESCO, et sur la définition d'un repas « à la française ».