
L’Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer) qui était historiquement le responsable de la mise en œuvre des prélèvements et des analyses de coquillages, a souhaité depuis quelques années, recentrer ses activités vers la recherche. C’est ainsi que de nouvelles modalités de surveillance ont été définies par la Direction générale de l'alimentation et mises en œuvre pour la première fois, dans les 22 départements littoraux, le 1er janvier 2018.
Un an après la mise en place de cette nouvelle organisation, une réunion a été organisée rassemblant tous les acteurs institutionnels de la surveillance : les services de l'administration centrale et déconcentrés de l’État, les laboratoires départementaux d’analyses, ainsi que la coordination nationale et les laboratoires de l'Ifremer.
Cette réunion a été l’occasion de rappeler les conséquences positives de l’évolution mise en place, le maintien de l’efficacité de la surveillance, ainsi que le renforcement du travail en réseau des différents acteurs locaux. L’Ifremer conforte sa position d’appui à la puissance publique à travers ses missions d’assistance à maîtrise d’ouvrage, qui lui permettent de mettre à profit son expertise.
Ce premier retour sur la mise en route du dispositif a également permis aux différents acteurs d’échanger sur leurs nouvelles missions, sur les difficultés rencontrées et sur les évolutions envisagées du dispositif. Ces échanges permettront de nourrir les réflexions en cours pour la surveillance sanitaire des zones de production de coquillages.
2019 sera mise à profit pour conforter ce nouveau dispositif.