Six céréaliers et un boulanger développent depuis trois ans une filière blé-farine-pain locale dans l’agglomération lyonnaise. La reconnaissance comme GIEE leur permettra d’investir dans du stockage et de diversifier leurs farines.
Au cœur de l’Ardèche verte, 52 exploitants et un conseiller privé ont monté un GIE : Groupement d’Intérêt Économique. Regroupant des exploitations d’orientations différentes (polyculture-élevage, arboriculture, viticulture), ce groupe de travail a permis le financement de matériel de désherbage mécanique, nécessaire pour réduire l’usage des pesticides, et changer les pratiques agricoles.Mais l’implication des agriculteurs dans une démarche environnementale ne s’est pas arrêtée là : ceux qui le pouvaient ont converti leur exploitation en Bio. 1000 hectares de prairies et cultures, 950 vaches "bio" et huit agriculteurs se sont rassemblés dans le GIEE Méthabio 07 depuis janvier 2015.
Les six premiers GIEE ont été reconnus samedi 21 février 2015 en présence de François Hollande et de Stéphane Le Foll. Quatre mois après la promulgation de la loi d’avenir, la mobilisation des partenaires en région sous le pilotage des Préfets a permis de lancer sur l’ensemble du territoire le processus de sélection des GIEE, groupements d’intérêt économique et environnemental.
Ces dernières années ont vu se développer, au sein du marché des intrants agricoles, divers produits et substances qui visent à améliorer le fonctionnement du sol, de la plante ou les interactions entre sol et plante. Ces produits de stimulation suscitent un intérêt grandissant auprès des différents acteurs du monde agricole...
BVA a réalisé en janvier 2015 une enquête sur la perception de l'agro-écologie auprès des agriculteurs français. Elle établit qu’un agriculteur sur deux déclare avoir entendu parler de l’agro-écologie, double ou triple performance.
Depuis cinq ans, le plan Ecophyto met en œuvre des actions pour accompagner les professionnels de l’ensemble des filières pour changer en
profondeur les systèmes de culture. Retour sur les faits qui ont marqué l'année 2014.
La maîtrise des impacts environnementaux par les entreprises alimentaires, qu’elles interviennent au niveau la production, transformation, distribution ou commercialisation, constitue l’un des éléments de leur compétitivité et de leur durabilité.