26 janvier 2017 Info +

Le suivi du dispositif « chefs de projet de partenariats »

légende et crédit ci-aprés
La maréchalerie du lycée de Saint Hilaire du Harcouët dispose désormais d'un nouveau bâtiment, et d'un outil de travail unique en France - ©lycée de saint Hilaire du Harcouët

Le rôle du CGAAER dans le suivi de ce dispositif « chefs de projet de partenariats » piloté par la DGER a été décrit dans le n°98 d'avril 2015 de La Lettre du CGAAER. Le présent article y ajoute quelques éléments d’actualité.

Onze chefs de projet, tous ingénieurs de l'agriculture et de l'environnement (IAE), sont en poste sur l’exercice 2016-2017, avec une présence de plus en plus marquée de l’agro-écologie dans leurs missions. C’est ainsi que la problématique de l’autonomie alimentaire des élevages se retrouve en Normandie (Vire), en Franche-Comté (Dannemarie-sur-Crète), en Poitou-Charentes (Poitiers-Venours) et en Lorraine (Nancy-Pixérécourt). De même, le lien entre la recherche, l’expérimentation et la pédagogie est un point commun pour les projets menés en Limousin (Tulle), en Pays de la Loire (Angers) et dans la Drôme (Valence). Enfin, un projet de lutte biologique par conservation des habitats se poursuit en Bourgogne-Franche-Comté (Dijon-Quétigny).

Par ailleurs, deux projets s’intéressent au développement de filières en Auvergne (Saint Flour) pour les territoires de moyenne montagne et en Centre - Val de Loire (Bourges) pour la filière « légumes ».

Enfin, la Basse Normandie (Saint Hilaire du Harcouët) s’intéresse à la recherche en matière de maréchalerie, avec une approche relative à la pathologie équine, et une autre en parallèle autour de l’ergonomie du métier de maréchal-ferrant.