
À cette occasion, Julien Denormandie a déclaré : « Faisons de la France le berceau mondial de l’AgriTech ! C’est avec tout l'écosystème, des start-ups aux financeurs en passant par les territoires, que nous porterons cette dynamique au service de notre souveraineté agroalimentaire ».
Afin de permettre au secteur agricole de continuer à s’adapter aux enjeux environnementaux, les technologies sont en effet des alliées de poids. Un grand nombre d’agriculteurs s’en servent déjà d'ailleurs dans leur quotidien pour :
- produire de manière plus écologique ;
- optimiser la gestion de l’eau ;
- améliorer la traçabilité des aliments et la sécurité alimentaire ;
- renforcer le bien-être animal.
Dans le prolongement de cette première réunion de lancement, Julien Denormandie et Cédric O se sont rendus le 31 août 2021 dans les Yvelines afin de visiter les locaux des start-ups UV-Boosting et NeoFarm.
À l'issue de la visite, le ministre et le secrétaire d'État ont présenté les propositions du Gouvernement pour structurer et encourager l’émergence des start-ups de l’AgriTech et de la FoodTech. Ce secteur florissant peut compter sur des pépites partout en France.
Julien Denormandie a rappelé que « l'innovation [était] au cœur de l'ADN du monde agricole ». Il a également annoncé la mobilisation par l'État d'une enveloppe de 200 millions d’euros sur 5 ans afin d'« accentuer les innovations au service de notre souveraineté alimentaire ».
Une mission de structuration de la French AgriTech a notamment été confiée à l'association La Ferme Digitale, collectif créé en 2016.
Pour en savoir plus, consulter le dossier presse sur le lancement de la French AgriTech
Le déplacement en images